Sunday, February 03, 2013

Gerhard Richter

Croyance


« We are not human beings having a spiritual experience, we are spiritual beings having a human experience. »

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Comme les membres d’un cadavre flottant

Les anciens peintres


« Le vers de plusieurs vocables, refait un mot total, neuf, étranger à la langue et comme incantatoire qui vous cause cette surprise de n’avoir jamais ouï tel fragment ordinaire d’élocution en même temps que la réminiscence de l’objet nommé baigne dans une neuve atmosphère. »






« Les anciens peintres commençaient par le sens, et lui trouvaient des signes. Mais les nouveaux commencent par des signes, auxquels il ne reste plus qu’à trouver un sens. »

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Garçons avec perruques

Il fait si froid, si bienheureusement froid

Dans l’absencedetravail, juste êtreaumonde (le travail te recroqueville)

Agnès Sorel

« La couture est l’expression éclatante d’une civilisation bien décidée à se maintenir »

Paris renouvelé : on peut y faire du cinéma

Je crois qu’il n’y a pas 1000 façons de faire du cinéma, non, il n’y a pas 1000 façons

Le Devenir Brigitte Bardot d’Audrey Vernon

« Il y a un poème à faire sur l’oiseau qui n’a qu’une aile »

Titre de livre
En faveur d’un ciel vide

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Chair




Pour nous c'est une chaise, une petite chaise, mais, pour X, c'est sa chaise d'enfant.

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Le Picasso des lacets de chaussures (2)



« La composition chorégraphique sera étendue par terre comme le corp d’un danseur liquéfié. »

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Les Pieds

Le Picasso des lacets de chaussures



« La danseuse fait oublier les soucis du prince, mais ne détruit pas les soucis du monde. »

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Grand jour

Todescotte la Biscotte
Si j'avais un amoureux j'aurais adoré l'enlacer pour la caméra ! En tout cas, ça à l'air d'un beau projet, l'amour est toujours si mal filmé. Bon tournage, hâte de voir le résultat. Si c'est aussi fragile et libre que tes spectacles, ça va être sublime.

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Couple

Orlando


J’avais froid, mais c’était moi.
J’étais pauvre, mais c’était moi.
Je baignais dans l’air plutôt que dans l’eau, mais c’était moi.
C’était moi encore les yeux ouverts pendant la nuit.
C’était moi la nuit contre les yeux, contre les vitres.
C’était moi bancal, handicapé, ne voulant pas progresser à la danse ou dans la vie.
C’était moi, cette planche.
Peu importe. C’était moi — peu importe. 
Je ne m’étais pas fâché contre tout le monde après tout. 
C’était moi.
Jean-Louis, à qui j’expliquais que je n’avais plus de travail, m’avait dit : « Tout ça, c’est à cause de ton mauvais caractère ».
Mais, oui, Jean-Louis, c’était moi.
Mais c’était moi.

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