The absurdities of sexuality
Une voiture roule, c’est Saint-Simon. Jean-Luc Verna : « On tape sur les Nazis, comme ça, mais ils étaient très bien habillés. » Phrase que je décrète immédiatement « phrase du jour ». Nous sommes à un débat, Jean-Luc et moi où il n’y a personne que nous, sur le thème : « La nudité dans la danse contemporaine. » J’explique à Jean-Luc que si on est là, lui et moi, c’est parce que tous les autres ont déclinés l’invitation et que les gens du public n’en sont pas, ce sont en fait le personnel de la maison qui fait figuration. La rime camp de concentration / érection, c’est encore Jean-Luc, je la note. « Le soleil, parce que c’est la lumière toute nue », dit, quant à lui, Jérôme Bel dans un film sur lui. Puis Sabrina Weldman, la modératrice (payée cinq cents euros, dit Jean-Luc), parle du Dispariteur, le spectacle que j’ai créé en partie dans le noir total : « Une pièce où on est à la fois dans du spectacle et en même temps dans des zones d’ombre étonnantes. » « Le sujet de la musique », est un titre qui s’éloigne du sujet, mais me rapproche sans doute de Pierre* (ou d'Alain, peut-être), c’est aussi l’une de mes notes. Jean-Luc Verna : « Moi, j’étais très content d’être un effet. » Il cite Quatremer de Quincy : « Le héros ne peut-être que nu. » Il dit : « Quatre mères… » et, moi, je dis : « Quel nom ! ». « Un corps trans-historique est nu », d’un côté (Jean-Luc), « la cicatrice du nombril », de l’autre (Jérôme). J.-L. V. : « Moi, elle (Gisèle Vienne) m’appelle « ma grosse poupée », donc je suis content qu’on me traite comme j’ai toujours été. » J.-L. V. : « L’effet pénis, ce que j’appelle « l’effet quenelle ». « Le phénomène vestiaire, l’homme montre plus facilement ses organes, qui sont extérieurs, si c’est la promesse de quelque chose ou si la taille… »
Comment guérir du narcissisme ?... Ok, voilà, j’ai guéri de cette maladie (dont j’ai la nostalgie) de l’homosexualité – mais – et c’est Jean-Luc Verna qui me (re)met la puce à l’oreille : comment guérir du narcissisme ? « Plaisir morbide », me dit Jean-Luc (ou plutôt le dit-il au « débat », mais il me parle et je lui parle (pas assez, je le regrette, pas assez à cause justement de ce narcissisme exacerbé dont Hélèna aussi fait dénonciation : Monsieur Tourné-vers-lui-même). Je parle à Jean-Luc de la disparition prochaine de mon association « Le dispariteur » pour en créer une nouvelle, je cherche un titre, il me dit : « Ah, oui, après l’ombre, quelque chose de plus tourné vers la lumière. » Sur la ligne 14, j’aperçois, gravée sur un pavé, la citation de Pascal que je lui montre : « Combien de royaumes nous ignorent ».
Il y a peu de lumière.
Le mythe de la misère ( le mythe de la richesse, le mythe de la misère).
« D’étendre les liens de notre conscience », c’est l’argument de Tartuffe. C’était aussi mes propres mots, quasiment, sans que je le sache, à Thomas, l'ami, il faudra que je lui en reparle. (Sur la conscience.)
Elle marche… avec ses grands pieds.
Taisez-vous. C’est le mot qu’il vous faut toujours dire.
*http://guarantyofsanity.hautetfort.com/
Comment guérir du narcissisme ?... Ok, voilà, j’ai guéri de cette maladie (dont j’ai la nostalgie) de l’homosexualité – mais – et c’est Jean-Luc Verna qui me (re)met la puce à l’oreille : comment guérir du narcissisme ? « Plaisir morbide », me dit Jean-Luc (ou plutôt le dit-il au « débat », mais il me parle et je lui parle (pas assez, je le regrette, pas assez à cause justement de ce narcissisme exacerbé dont Hélèna aussi fait dénonciation : Monsieur Tourné-vers-lui-même). Je parle à Jean-Luc de la disparition prochaine de mon association « Le dispariteur » pour en créer une nouvelle, je cherche un titre, il me dit : « Ah, oui, après l’ombre, quelque chose de plus tourné vers la lumière. » Sur la ligne 14, j’aperçois, gravée sur un pavé, la citation de Pascal que je lui montre : « Combien de royaumes nous ignorent ».
Il y a peu de lumière.
Le mythe de la misère ( le mythe de la richesse, le mythe de la misère).
« D’étendre les liens de notre conscience », c’est l’argument de Tartuffe. C’était aussi mes propres mots, quasiment, sans que je le sache, à Thomas, l'ami, il faudra que je lui en reparle. (Sur la conscience.)
Elle marche… avec ses grands pieds.
Taisez-vous. C’est le mot qu’il vous faut toujours dire.
*http://guarantyofsanity.hautetfort.com/