Sunday, December 28, 2008

J’avais posté un texte un peu paumé que j’ai enlevé, mais en lisant « Lacrimae Christi » de Pierre Courcelle, je suis de nouveau en sécurité.

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Les hauteurs

Nouvelle

Darling, je reprends une nouvelle commencée il y a longtemps et qui raconte l'histoire d'une espèce d'ivrognesse que sa soeur héberge dans la salle de ping pong de sa maison de banlieue. Je peine un peu, nul manteau d'arlequin ne vient recouvrir mes épaules (ça caille, pourtant) et je n'atteins pas le quart des hauteurs auxquelles toi et ton copain Pierre évoluez quotidiennement. Pourtant, ça me plait. À un point tel que je passerais volontiers les jours qui viennent à écrire dans mon lit, chez moi. Pas envie de bouger pour le 1er de l'an, sauf pour aller dîner chez Agathe (au fait tu es invité, un p'tit diner sympa avec des étudiantes chinoises et japonaises, David, Enrico, etc.) qui va préparer un très bon repas. Moi aussi, j'ai envie de voir ma famille. Faudra décider, après, si on part en France ou à l'Ile Maurice ou en Chine. Tout m'attire ! Bientôt ! Le plus tôt possible ! En janvier, hein ? J'ai envie d'un voyage avec toi. Je t'embrasse. H.

Mon lit...

...t'est ouvert en permanence, pour travailler ou dormir ou ce que tu veux. H.

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La rue du lycée