Saturday, December 07, 2013

17h50


Bonjour Yves-Noël,

Il est un peu tôt pour t'écrire, mais il est fait déjà noir, alors :-)
J'ai trouvé très beau le texte sur ton blog avec « On ne sait pas comment ces étincelles brillent »
Tu voudras bien, quand t'auras le temps, me dire c'est de qui
(sauf si c'est un secret)
J'espère que tu vas très bien,
je t'embrasse,

Soso

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Je n'irai pas au Mexique cet hiver, je n'ai pas obtenu la bourse convoitée


« Des nombreux dangers qu'il y a au Mexique, il me semble que l'un des plus périlleux, est que ce pays fait de tes rêves une réalité. Le Mexique t'écoute et te comprend, quelle que soit ta langue. » 

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B el-Ami


Il faut qu’il y ait un B dans l’histoire. Bébé étant déjà pris (par Baptiste — et ON NE REMPLACE PAS Baptiste) et Boris étant pour Boris (d’Ambly) (irremplaçable aussi) (d'Ambly étant déjà un pseudo), ce sera (peut-être) Bel-Ami, le surnom de cette histoire… Je lis, du coup, le synopsis du roman de Guy de Maupassant sur Wikipédia, ça ne ressemble pas du tout — mais pas du tout — à comme je l’imagine, le nouveau venu, mais — qui sait ?... Quelqu’un lit le roman et j’aime bien comment c’est lu — pour une fois. C’est lu d’une manière naïve, mais… au moins, on y est… dans ce Paris désuet, vivant et idiot… Je voudrais continuer d’écouter cette personne qui me lit ce roman — où il y a quelqu’un qui ressemble à Boris (mais que nous nommerons désormais Bel-Ami). Je l’imagine,  Bel-Ami, au début de son roman et à qui il arrivera plein d’aventures… Il est pauvre encore... Ça a toujours été des séries, mes amours… Là, c’est les B. Mais il y a eu les A. Annabelle, Anne, Jeanne… Il y a eu les Thomas aussi, envahissants. Il y en avait partout. Ils grimpaient sur les murs, je ne savais plus où les mettre. (Mon psy s’appelait Thomas, ça en faisait certainement déjà un bon paquet à lui tout seul.) 

E h, eh...


« comment un homme aime-t-il une femme ?
                 par hasard »

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L’Eau dans laquelle poissons rouges


« Cette capacité à rendre l’événement qu’est le monde, je crois qu’il n’y a que la peinture qui le restitue aussi bien. Dans la littérature, la photographie, la musique, il faut une trame, un élément perturbateur, une chronologie, un événement. Pour rendre la brillance du réel, ce qui se passe quand il ne se passe rien, ce que j’appellerais le non-événement, l’eau dans laquelle poissons rouges nous naviguons, il n’y a rien de mieux que le médium peinture. »

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L l'est

   
Demain dimanche, à 18h30, et après-demain lundi, à 20h30, il y a, dans la salle nommée Confluence (190, rue de Charonne), reprise d’un spectacle de mon amie très joliment talentueuse — plus connue peut-être sous le pseudo Fb d’Edmonde Gogotte — que j’ai vraiment beaucoup aimé (je me souviens, j’étais avec Bébé). J’avais dû déjà en parler à l’époque parce qu’elle me cite dans sa newsletter : « Christine Armanger fait comme trembler un climat, comme l'eau d'un lac, un étang. C'est l'étang érotique. » Oui, c’était très chouette ! et, comme je le dis dans la phrase citée, pour une fois, ne vous demandez pas si ça va être sexy : ça l’est ! d’une manière tout à fait assumée — comme l’intelligence… Si les filles faisaient plus souvent des spectacles comme ça, je me poserais moins de question sur ma sexualité, sacré nom d’une pipe ! et la vie serait belle ! Elle l'est. Amen.

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