Monday, November 11, 2013

L a Beauté


Photo Marc Domage, Boris Grzeszczak et Bertrand Dazin dans Un petit peu de Zelda

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BON SPECTACLE, mon show lapin
je pense à toi à rome sous pluie,
je pense à toi
croise mes doigts et serre les fesses.

MERDE

T

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Ce soir, lundi 11, 20h30, vous êtes invités à découvrir avec nous — en seconde avant-première — notre nouveau spectacle à la Ménagerie de Verre : UN PETIT PEU DE ZELDA. Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Représentations du 12 au 14 novembre, 20h30, à la Ménagerie de Verre, festival Les Inaccoutumés, réservations : 01 43 38 33 44 

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L a Beauté


Photo Marc Domage. Jeanne Monteilhet dans Un petit peu de Zelda

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L uxe


« Un service de bouquets de haute couture et de livraison internationale. »



« Quand je pars toréer, je laisse mon corps à l’hôtel. »

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I ls n’ont jamais dit que la même chose


« En d’autres termes, quand on fouille, on découvre, en soi, non pas un moi, mais un autre, dont le moi n’est que la surface ou l’apparence. Nous sommes riches de l’altérité que nous portons en nous. Et personne plus que le poète — ou peut-être plus que l’illuminé, au fond, sous toutes ses formes — parce que le père de cette idée-là, c’est saint Augustin. L’inventeur de la notion d’intime comme altérité, c’est Augustin, c’est dans Les Confessions. Et au fond, quand Baudelaire croise non  pas lui-même, mais l’autre — y a 2 personnes en lui et la vraie, c’est l’autre —, quand il croise cet autre qui le compose, qui le constitue, qui le nourrit, qui le juge parfois ou qui lui mange le cœur, quand il croise cette personne-là, au fond, il croise l’inspiration qu’il porte en lui. Oui, l’intime, l’altérité, c’est-à-dire l’inspiration dont il est capable. Vous avez vu Ab Fab ? »

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Z


Photo Marc Domage, Boris Grzeszczak et Bertrand Dazin dans Un peu de Zelda (ça en fait, des Z)

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D énonciation


Le sagouin qui a peint les lettres MEPHISTO sur le mur du fond de la salle de la Ménagerie, lettres d’une durée de vie de plusieurs centaines d’années (peinture radioactive) et qui passent à travers les couches de peinture dont on les recouvre, ce qui empêche tout noir profond à la Ménagerie (et déclasse, de fait, cette salle), c’est Robert Cantarella, m’a confirmé le directeur technique.  

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