A la radio

« Moi-même, l’été, je ne vais plus à la Grande Motte, j’ai une trop petite bite »

« L’homme est le seul animal de la création qui a sa queue devant et qui court derrière »

« Si tu es une femme de plus de cinquante ans et que tu habites Niort, tu as peu de chances de te faire sauter par Yann Moix ou par Michel Houellebecq »

« Mourir, c’est vraiment la dernière des choses à faire » 

« Je suis du verbe suivre » 

A u fait

Je suis allé jusqu'à la librairie Gallimard, boulevard Raspail, pour trouver ce livre. Il y avait une manifestation de taxis prise dans une nasse. J'ai failli mourir — mais ce n'était que des pétards (et quelqu'un disait : « Oh, il faut qu'il arrête, lui, avec ça... »). Mais de toute façon tout est prétexte dans la vie et j'étais ravi de visiter Paris. Les terrasses rouvertes, les gens avachis, sortis des trous, pleins d'espoir, d'innocence, ça avait un certain charme. Ainsi donc la vie, la fausse vie était là. Les terrasses, mais les théâtres ? Tout près de chez moi, on joue un opéra de Benjamin Britten à 18h. J'ai demandé des places, pas obtenu de réponse. Ça doit être en jauge réduite et, du coup, difficile d'en obtenir. Cette rouverture des théâtres reste abstraite pour moi. Ah ! au fait, le livre est excellent