Roman magnifique de Michel
Houellebecq, évidemment accompagné d’une « promotion »
terrifiante : le jour de la sortie, l’attentat. Ensuite, tout se déroule
dans le réel comme dans le livre : guerre civile. Michel Houellebecq représente
encore une fois, je ne sais pas par quel miracle, l’espoir et la littérature à
la fois, l’idée qu’à travers la stupidité régnante, ultra-régnante, il y a non
pas un ailleurs, mais un au-delà, un avenir…
« le passé est
toujours beau, et le futur aussi d'ailleurs, il n'y a que le présent qui fasse
mal, qu'on transporte avec soi comme un abcès de souffrance qui vous accompagne
entre deux infinis de bonheur paisible »