D’encenser Emmanuel
D’encenser Emmanuel
In Gold We Trust. (L change tout.) L’anonymat solennel. La chance ou la malchance. Des autocars de substitution. J’apprends tous les jours. Les yeux brillants, brûlants, la 3D. Des femmes folles de beauté, des hommes rêveurs. I didn’t mean to bother you. « Ma personnalité était gouvernée par une radicale détestation de moi-même et une intolérance féroce à l’égard de mes congénères. » Raconter des salades et se vendre. I assure you : there’s nothing for us to discuss. This Ghandilike way of nonresisting.
Holly, She’s beautiful. But she’s broke. And then, Juliet… If your want to reach the sky… fuck a duck and try to fly.
A frown of disapproval. C’est la loi des essuie-glaces. Tu sais, j’fais souvent des bêtises.
The Cassis River flows unknown
In strange valleys
T’as quelqu’un dans ta vie ? Ça t’fait peur que tout soit facile ?
– Qu’est-ce qui m’tourmente ? – Le bonheur.
Le bonheur bourgeois. Tu sais c’qu’on dit dans les chansons ? Le jour où ce s’ra fini…
Tu sais, j’fais souvent des bêtises.
Je me renseigne, je me renseigne sur les films. « You’ve change things forever. » – dit-il de sa voix susurrée – susurrée par la machine. L’expression. Je suis à Paris pour quelques heures. J’aperçois Paris.
Paris apparaît.
Du vert et du jaune. Pour des repérages.
De sa voix à peine dite…
Jeunesse désargentée. Le sol sur lequel s’inscrit notre espace privé. Recension.
Dans l’air aussi.
Notre espace commune.
The only sensible way to live in this world is without rules. Such niceties. An intricate network of canals. Inanimé. Retrouvé inanimé.
Inanimé.
Des mots, il y en a toujours trop, assez, pour ne pas comprendre. Toujours assez, toujours des nouveaux, toujours d’autres langues – pour n’en pas comprendre un mot. Ainsi la communication est entravée, par ce système. Et cela vaut le coup d’écrire sale. Ou d’écrire bien. The fortune estimated. Pluie de rideaux, de grelots, de pianos sanglotants et criards (son placé trop fort). Ô mon amour…
Anticipation’s just been huge for this movie.
« Il » a disparu complètement into the role.
Fatigue de rêve. Don’t – play – for real – until – it gets – real.
De sa voix rauque : « You know what I want. It’s not that difficult. » Il se décrit comme un animal. Un animal blessé. Un vieux lion. (Et c’est vrai qu’il est traversé par beaucoup d’ombres.)
La fille est très belle.
Pourrait jouer à Hollywood. Même si, pour y arriver, il faut l’vouloir.
Retournement de larmes. Applause.
L’absence de naïveté au galop. D’encenser Emmanuel. I wake up dans cette zone between ombres et silence.
17, 18 septembre 2008.
In Gold We Trust. (L change tout.) L’anonymat solennel. La chance ou la malchance. Des autocars de substitution. J’apprends tous les jours. Les yeux brillants, brûlants, la 3D. Des femmes folles de beauté, des hommes rêveurs. I didn’t mean to bother you. « Ma personnalité était gouvernée par une radicale détestation de moi-même et une intolérance féroce à l’égard de mes congénères. » Raconter des salades et se vendre. I assure you : there’s nothing for us to discuss. This Ghandilike way of nonresisting.
Holly, She’s beautiful. But she’s broke. And then, Juliet… If your want to reach the sky… fuck a duck and try to fly.
A frown of disapproval. C’est la loi des essuie-glaces. Tu sais, j’fais souvent des bêtises.
The Cassis River flows unknown
In strange valleys
T’as quelqu’un dans ta vie ? Ça t’fait peur que tout soit facile ?
– Qu’est-ce qui m’tourmente ? – Le bonheur.
Le bonheur bourgeois. Tu sais c’qu’on dit dans les chansons ? Le jour où ce s’ra fini…
Tu sais, j’fais souvent des bêtises.
Je me renseigne, je me renseigne sur les films. « You’ve change things forever. » – dit-il de sa voix susurrée – susurrée par la machine. L’expression. Je suis à Paris pour quelques heures. J’aperçois Paris.
Paris apparaît.
Du vert et du jaune. Pour des repérages.
De sa voix à peine dite…
Jeunesse désargentée. Le sol sur lequel s’inscrit notre espace privé. Recension.
Dans l’air aussi.
Notre espace commune.
The only sensible way to live in this world is without rules. Such niceties. An intricate network of canals. Inanimé. Retrouvé inanimé.
Inanimé.
Des mots, il y en a toujours trop, assez, pour ne pas comprendre. Toujours assez, toujours des nouveaux, toujours d’autres langues – pour n’en pas comprendre un mot. Ainsi la communication est entravée, par ce système. Et cela vaut le coup d’écrire sale. Ou d’écrire bien. The fortune estimated. Pluie de rideaux, de grelots, de pianos sanglotants et criards (son placé trop fort). Ô mon amour…
Anticipation’s just been huge for this movie.
« Il » a disparu complètement into the role.
Fatigue de rêve. Don’t – play – for real – until – it gets – real.
De sa voix rauque : « You know what I want. It’s not that difficult. » Il se décrit comme un animal. Un animal blessé. Un vieux lion. (Et c’est vrai qu’il est traversé par beaucoup d’ombres.)
La fille est très belle.
Pourrait jouer à Hollywood. Même si, pour y arriver, il faut l’vouloir.
Retournement de larmes. Applause.
L’absence de naïveté au galop. D’encenser Emmanuel. I wake up dans cette zone between ombres et silence.
17, 18 septembre 2008.
Labels: poésie yves-noël dispariteur